Le député de la circonscription Charlesbourg–Haute-Saint-Charles, M. Pierre Paul-Hus, se souviendra longtemps du 20 novembre 2015. Une journée doublement significative pour celui qui, en plus de vivre sa toute première cérémonie d’assermentation à titre de représentant à la Chambre des communes, a eu l’immense honneur d’être nommé au sein du cabinet fantôme de l’Opposition officielle.

En matinée, l’honorable Rona Ambrose, chef de l’Opposition officielle et chef intérimaire du Parti conservateur, a dévoilé la composition du cabinet fantôme de l’Opposition officielle. Dans le cadre de cette annonce, M. Paul-Hus a été nommé critique associé à la Défense nationale et porte-parole officiel pour le Québec en la même matière.

« J’ai été ravi de recevoir l’appel de Mme Ambrose, qui m’a demandé si j’étais prêt à servir dans le cabinet fantôme de l’Opposition officielle. De pair avec mon collègue, le député de Selkirk-Interlake-Eastman (Manitoba), M. James Bezan, nous verrons à assurer une présence efficace à la Chambre des communes », de mentionner le député.

M. Paul-Hus, au même titre que les autres membres du cabinet fantôme, veillera aux intérêts de l’ensemble des Canadiennes et Canadiens. « Je crois que l’équipe que nous formons sera la plus forte opposition que ce pays ait jamais connue, indique Mme Rona Ambrose. Je suis fière de diriger cette équipe talentueuse et respectée, venant de partout au Canada. Ensemble, nous allons poser des questions difficiles au gouvernement et lui demander des comptes. »

Assermentation
Quelques heures plus tard, le député de la circonscription Charlesbourg–Haute-Saint-Charles avait rendez-vous au Parlement d’Ottawa en vue de sa cérémonie d’assermentation. Un événement très significatif, d’autant qu’il s’agissait, pour le principal intéressé, de la réalisation d’une promesse.

« Lorsque j’ai pris ma retraite après 22 années de service sous les couleurs des Forces armées canadiennes, j’ai mentionné avoir le désir d’aider mon pays à un autre niveau. Aujourd’hui, j’ai le bonheur de donner suite à cet engagement », explique M. Pierre Paul-Hus.