Les conservateurs demandent au gouvernement d’améliorer le contrôle aux frontières et de protéger la santé et la sécurité des agents frontaliers canadiens
17 avril 2020, Ottawa (Ontario) – Aujourd’hui, Pierre Paul-Hus, ministre du Cabinet fantôme conservateur responsable de la Sécurité publique, de la Sécurité frontalière et de la Protection civile, ainsi que Glen Motz, ministre adjoint du cabinet fantôme responsable de la Sécurité publique et de la Protection civile, ont demandé au gouvernement de s’assurer que toute prolongation de l’accord du 20 mars dernier, avec les États-Unis, visant à limiter les voyages non essentiels entre nos deux pays comprenne des mesures de dépistage renforcées et protège la santé et la sécurité des agents frontaliers canadiens.
« S’il est important que le Canada et les États-Unis s’entendent pour prolonger la fermeture temporaire de nos frontières aux voyages non essentiels, le gouvernement canadien doit également renforcer les mesures de contrôle et protéger les agents frontaliers canadiens », a déclaré le député Paul-Hus.
En janvier, les conservateurs ont demandé pourquoi le gouvernement ne mettait pas en place des mesures de contrôle plus strictes à la frontière et pourquoi les voyageurs revenant de zones touchées par la COVID-19 n’étaient pas tenus de s’auto-isoler.
« En dépit de la crise de santé publique actuelle, il y a peu de travailleurs de la santé publique aux points d’entrée pour soutenir le travail des agents frontaliers. Les conservateurs demandent au gouvernement de fournir immédiatement un soutien supplémentaire aux agents de première ligne de l’ASFC et de s’assurer qu’ils disposent des fournitures nécessaires pour assurer leur propre sécurité et celle des Canadiens », a déclaré le député Motz.
De plus, les conservateurs presseront le ministre de la Sécurité publique et de la Protection civile de fournir des rapports publics hebdomadaires sur la situation aux points d’entrée partout au pays. C’est une raison de plus pour que le Parlement continue de tenir des séances en personne afin que les partis de l’opposition puissent débattre, discuter et améliorer les programmes et les politiques du gouvernement et assurer la sécurité de tous les Canadiens.
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